Les Fédérations d'éducation populaire prônent des valeurs fondamentales telles que l'inclusion, la solidarité, l’humanisme, la paix, l'égalité des chances et la citoyenneté active. Des valeurs de justice sociale et de démocratie. Elles visent à donner à chacun, sans distinction d'âge, d'origine, d'appartenance, de confession, la capacité de penser par lui-même et d'agir avec les autres pour améliorer la société dans le respect de ses opinions et croyances

La participation au premier tour des élections législatives du dimanche 30 juin a été exceptionnelle. Les 65 % des inscrits qui se sont exprimés par le vote, ont bien compris le caractère exceptionnel de ce scrutin. En tant qu’association d’éducation populaire, les Maisons des Jeunes et de la Culture ne peuvent que saluer ce retour salutaire aux urnes.

Le LMA auquel nous sommes doublement indirectement adhérents, via la COFAC et via le Cnajep, a écrit un courrier à Gabriel ATTAL.

Le Conseil économique, social et environnemental lance l’alerte sur le financement des associations et appelle à une mobilisation globale en faveur du monde associatif.

Construit sur la base d’une large consultation de milliers d’associations, d’une journée délibérative et de nombreuses auditions, le rapport du CESE lance une alerte sur l’urgence à agir pour pérenniser les associations car elles assurent des pans entiers de services d’intérêt général et non marchands auprès d’un large public et dans tous les territoires et en cela, elles forment un véritable ciment sociétal.....

 Les prochaines élections européennes auront lieu le 9 juin 2024. Elles concernent 450 millions de citoyens et citoyennes européens. Faire République, créer du commun et agir toujours en faveur d’une société plus juste et solidaire : un enjeu central des élections européennes. Depuis 80 ans et la République des jeunes en 1944, les MJC nourrissent le projet d'accueillir, de rassembler et d'accompagner chacune et chacun. Bien plus que de simples lieux de loisirs, elles sont des lieux d'éveil et d'émancipation, où l'on donne la possibilité de mettre la société en débat et de construire un autre monde........

ÉTUDE Commandée par la Direction Générale de la Création Artistique, cette étude participative dégage plusieurs problématiques relatives à la production et amorce des pistes de réflexion pour tenter de les résoudre.

Afin de disposer d’un état des lieux des forces productives du spectacle vivant en France, la DGCA du ministère de la Culture a commandé au cabinet Kanju une étude appelée à se concentrer sur le cycle complet de la production d’une œuvre, de sa création à sa première représentation publique. Considérant l’ensemble des champs du spectacle vivant (à l’exception des musiques actuelles), celle-ci s’est appuyée sur quatre sources principales : une analyse d’études précédentes abordant les sujets liés à la production, des contributions écrites demandées à des têtes de réseaux ou des centres de ressources, ..... 

Suite à l'annonce des coupes budgétaires allouées à la création des pratiques culturelles, nous vous partageons la lettre écrite par SYNDEAC à l'ensemble des parlementaires.

 L’hybridation des ressources financières des associations est un marqueur des évolutions en cours dans le secteur de l’ESS. Autrefois à la marge dans les pratiques, la recherche de mécénat est entrée dans les préoccupations courantes des responsables de projet.

Opale a récemment publié un guide des fondations susceptibles d'intervenir sur le financement de projets portés par des associations artistiques et culturelles.

MJC de France tient à dénoncer l’adoption de la nouvelle loi sur l’immigration et l’asile le mardi 19 décembre qui constitue un recul inédit des principes et valeurs fondatrices de la République. Les MJC sont nées de la Résistance, elles se structurent après la proclamation par André Philip de la République des Jeunes le 27 septembre 1944 afin de construire un avenir commun émancipateur, recréer des liens sociaux et replacer les valeurs de la République au cœur du pacte républicain après plusieurs années de démantèlement de ces dernières sous le régime de Vichy.

Ces cinq dernières années, la France a connu des évènements et des phéno-mènes qui sont une nouvelle fois venus interroger, éprouver le sens et la cohésion de son modèle démocratique et social : les mobilisations sociales contre la loi Travail ou contre la réforme des retraites, le mou-vement dit des « gilets jaunes » ou la pan-démie COVID. Ils ont été un nouveau révé-lateur des inégalités éducatives, sociales et économiques à l’œuvre dans notre pays.

 Le 12 et le 19 juin 2022, nous désignerons les représentantes et les représentants de la nation pour la prochaine législature. A chaque rendez-vous électoral, nous sommes mobilisés auprès des adhérentes, des adhérents et des usagers des maisons des jeunes et de la culture (MJC) pour les inviter à exercer leur devoir citoyen mais ne nous voilons pas la face : il y a un travail en profondeur à conduire ...

 Voici deux ans que l’épidémie bouleverse nos vies, nous sépare et nous met à distance les uns des autres, élargit les fractures et fragilise le lien social. Resserrer ce lien qui participe à la cohésion de la société, le nourrir et lui donner tout son sens, c’est le pouvoir de la culture. C’est également la vocation des associations, fruits des volontés individuelles de « s’associer » ...

Les associations de proximité telles que les l’œuvre dans notre pays. MJC rendent service à la population en agissant en complémentarité des structures publiques. Leur rôle a été rendu encore plus évident dans cette période de pandémie de Covid-19. Par leur agilité, leur proximité sur les territoires et leur connaissance des besoins de la population, les MJC se sont révélées être des partenaires solides pour répondre aux enjeux de la situation. Elles ont favorisé l’engagement des jeunes et des adultes, et mobilisé leurs bénévoles autour de projets de solidarité, de continuité éducative et de soutien à la population.

#SoutienslEducPop : Hexopée lance une campagne de mobilisation pour alerter sur les difficultés des associations et le manque de reconnaissance et de valorisation de ses métiers